La fin des cycles karmiques
- jean-cyril vadi
- 12 sept.
- 5 min de lecture
Depuis que j'ai commencé à explorer les mystères de la conscience et à accompagner des personnes dans leur transformation intérieure, un thème revient souvent : celui des cycles karmiques.
Beaucoup ressentent une répétition, un schéma dans leur vie, qui semble les emprisonner dans une roue sans fin de souffrance ou d'incompréhension. Je veux aujourd'hui aborder avec vous la possibilité de mettre un terme à ces cycles et d'entrer dans une nouvelle phase d'évolution.
Qu'est-ce qu'un cycle karmique ?
Le karma est bien plus qu'une simple conséquence de nos actions. Il s'agit d'un mécanisme d'apprentissage.
Chaque acte, pensée ou émotion que nous émettons crée une empreinte qui influence notre vie future, que ce soit dans cette incarnation ou dans une autre.
Ces cycles karmiques persistants tant que nous n'avons pas entièrement intégrés les leçons qu'ils cherchent à nous enseigner.
Je vois souvent ces cycles comme des occasions de purification. Tant que nous n'avons pas transmuté une situation, elle continue de revenir sous différentes formes, comme un maître patient ... mais insistant.
Comment savoir si je suis à la fin d'un cycle ?
La fin d'un cycle karmique se manifeste souvent par une sensation de soulagement profond, comme si un lourd fardeau avait été levé. Ce peut être l'aboutissement d'une relation complexe, la guérison d'une blessure émotionnelle ancienne, ou encore un changement de perception vis-à-vis d'une situation répétitive.
Un cycle karmique arrive à sa fin lorsque nous parvenons donc à transformer ce qui nous limitait en une source de compréhension et de lumière. Dans mon accompagnement, je remarque souvent que les personnes prennent conscience que leurs relations, leurs émotions, prennent une nouvelle tournure.
Elles se sentent prêtes à avancer.
L'Alchimie
L'alchimie intérieure, telle que je la pratique, est un outil puissant pour travailler sur ces cycles karmiques. À travers des protocoles comme le VITRIOL ou encore la régression dans les vies antérieures , nous pouvons revisiter les racines profondes de nos blocages, et les transmuter . L'alchimie, ce processus de transformation de la matière brute en ou spirituelle, est une métaphore de la transformation de notre être. C'est en explorant les couches les plus profondes de nous-mêmes que nous sommes capables de libérer ces mémoires anciennes.
Vers la fin des cycles : Un changement de conscience
Je crois que nous sommes aujourd'hui dans une époque où il est possible de clore des cycles karmiques beaucoup plus rapidement qu'auparavant. Les énergies actuelles nous offrent une opportunité unique d'accélérer notre évolution. À travers des méthodes spirituelles adaptées, nous pouvons nous libérer des schémas répétitifs, et enfin, sortir de cette roue apparemment sans fin. Ce travail exige du courage, de la persévérance, et une volonté de regarder en face nos ombres pour les transmuter en lumière.
Devenir maître de son destin
Mettre fin à un cycle karmique n'est pas simplement un processus de guérison, c'est une réinvention totale de soi. Lorsque nous transcendons ces cycles, nous accédons à un nouveau niveau de conscience, libre des schémas limitants. C'est un passage, un voyage intérieur où nous reprenons notre destinée en main, en harmonie avec les lois cosmiques.
Je vous invite à explorer cette voie avec moi, à travers mes transmissions et mes accompagnements alchimiques. Ensemble, nous pouvons travailler à libérer les chaînes invisibles qui nous retiennent, et ouvrir la voie à une vie plus lumineuse, plus consciente, et plus alignée avec notre véritable essence.
La fin du Karma : Refuser la réincarnation
Et si, au lieu de chercher à purifier de vies en vies, le karma, il s'agissait plutôt de refuser la réincarnation en elle-même.
La réalisation spirituelle passe par la reconnaissance que nous sommes des êtres de lumière, piégés temporairement dans un monde matériel. Une fois que l'âme accède à cette compréhension, elle peut choisir de ne plus revenir dans le monde physique, brisant ainsi les chaînes de la Matrice.
L'idée gnostique est que l'âme n'a pas besoin de répéter des expériences de souffrance pour évoluer. En effet, la voie de la connaissance directe (Gnose) et de l'intégration du message christique permet à l'âme de s'élever au-dessus des lois karmiques, vers un état de libération spirituelle totale.
La Libération dans l'accompagnement alchimique
Dans mes accompagnements, je vois souvent comment cette compréhension gnostique de la Matrice et du karma peut profondément changer la manière dont les individus perçoivent leur propre processus de guérison et de transmutation.
Plutôt que de améliorer leur situation dans cette vie ou dans des vies futures, ils se rendent compte qu'ils ont le pouvoir de s'affranchir totalement du cycle karmique. Cela passe par une transformation profonde de leur conscience, un abandon des attachements à la matérialité, et une connexion avec la lumière divine à l'intérieur de soi qui se trouve en chacun, et qu'il convient d'accueillir.
Se souvenir
On ne peut jamais être absolument certain que ce dont on se souvient en état modifié de conscience est objectivement vrai…Mais ce n’est pas toujours cela qui compte.
1. Le critère de vérité n’est pas factuel, il est transformateur.
Dans le protocole Je me souviens, ce qui compte, ce n’est pas de prouver la réalité d’une vie antérieure ou d’une mémoire transpersonnelle.
Ce qui compte, c’est ce que cela change dans la personne ici et maintenant.
Est-ce que cela libère ?
Est-ce que cela répare une faille intérieure ?
Est-ce que cela ouvre une conscience plus vaste, plus responsable, plus alignée ?
Alors ce souvenir est “vrai” dans un sens opératif, alchimique.
2. L’inconscient ne fabrique pas “au hasard”.
Même si une scène vécue en état modifié n’a jamais eu lieu dans cette réalité physique, elle dit quelque chose de profondément vrai sur la structure de la psyché, sur une douleur, une mémoire collective, un archétype, un nœud de l’âme.
Et parfois, ces “fabulations” guérissent plus que 10 ans de thérapie analytique.
3. Il existe des marqueurs de cohérence.
Certaines personnes retrouvent en état d’exploration des éléments historiques précis, des langues, des détails vérifiables qu’elles ne connaissaient pas auparavant.
Cela n’est pas la règle, mais quand cela arrive, c’est troublant.
Et cela pose la question d’une mémoire hors du cerveau.
Une mémoire akashique, transpersonnelle, ou même collective.
4. L’illusion peut être utile.
Même si le souvenir était en partie “construit” ou symbolique, il peut servir de porte d’accès à une vérité plus profonde, souvent inaccessible autrement.
L’enjeu n’est pas la reconstitution d’un passé objectif, mais la transmutation d’une mémoire subjective qui enferme ou limite.
La question n’est pas “est-ce vrai ?”
Mais “est-ce juste ?”
Est-ce que cela me rend plus libre ? Plus vivant ? Plus unifié ?
Alors…
C’est que tu t’en es souvenu au bon moment.
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